Organe officiel de l'association suisse pour l'abolition de la vivisection.


Fondé en 1980 par l'ancienne présidente Milly Schär Manzoli, il est aujourd'hui représenté par Max Molteni et Natascia Gamba.

Le magasine est disponible en trois langues : italien, français et allemand. Il est publié quatre fois par an : en mars, juin, septembre et décembre.

Les articles du journal offrent une vue d'ensemble concernant les activités de notre association. Ils traitent en particulier du thème de l'expérimentation animale et des méthodes alternatives ainsi que de tous les sujets qui touchent à la défense des droits des animaux.

 

Prix par an pour l'abonnement :

Suisse  CHF 20.-  

Etranger  CHF 30.- (Euro 20.-) pour les Pays européens

                CHF 45.- (Euro 30.-) pour les Pays Extraeuropéens

 

Pour s’abonner, il est suffisant d’effectuer le versement sur le CCP 69-1810-7

au nom de: ATRA, Ass. suisse abolition de la vivisection, 6900 Lugano.

Code IBAN: CH85 0900 0000 6900 1810 7

Code BIC: POFICHBEXXX

 

Rédaction:

Via Capelli 28 - 6900 Lugano

Heures d'ouverture:

Du lundi au vendredi: de 14.00 à 17.00 heures

Veuillez nous contacter au :

Tel: +41 (0)91/ 970 19 45

Fax: +41 (0)91/ 970 19 46

E-mail: Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser.

 

Orizzonti Mars 2015

Notre engagement peut être soutenu de diverses manières:

• Vous pouvez participer activement aux manifestations, stands d’information, organiser des conférences dans les écoles ou ailleurs, distribuer Orizzonti, des tracts et tout matériel informatif. Contactez-nous !

• Vous pouvez adopter (à distance ou directement) un animal sauvé de la vivisection ou d’autres sortes de mauvais traitements.

• Naturellement, vous pouvez également nous soutenir financièrement en vous abonnant à notre trimestriel Orizzonti, en achetant nos gadgets, nos livres ou en faisant un don sur notre compte courant postal n°: 69-1810-7 au nom de l’ ATRA – Association Suisse pour l’Abolition de la Vivisection, 6900 Lugano.

 

Tous ceux qui font une donation à notre association, sont insérés automatiquement dans la liste des abonnés à Orizzonti. Ceux qui ne souhaitent pas recevoir le journal en version papier sont priés d’indiquer dans le versement « PAS DE JOURNAL ».

 

MEMBRE ACTIV ATRA

Toutes les personnes physiques, juridiques et de droit publique peuvent adhérer à ATRA en versant la cotisation de CHF 100.- par année (indiquer dans le versement le mot "MEMBRE"). La cotisation annuelle comprend l'abonnement d'un an à Orizzonti et la possibilité de parteciper à l'Assemblée annuelle.

 

VOS DONS EN FAVEUR DE L'ATRA PEUVENT ÊTRE DEDUITS DES IMPÔTS !

Une attestation de donation sera envoyée sur demande à partir d'un montant annuel égal ou supérieur à CHF 100.-

 

Nous demandons à tous ceux et celles qui ont la possibilité de faire des versaments par E-banking d'utiliser ce système aussi pour le dons faits à notre association.
Chaque versement fait à l'aide d'un bulletin de versament postal entraîne d'importants frais de tenue de compte.

CCP 69-1810-7

IBAN: CH85 0900 0000 6900 1810 7

BIC: POFICHBEXXX

Il est également possible d'effectuer des ordres bancaires permanents à notre faveur (renseignez-vous auprès de votre banque).

 

C’est aussi grâce à votre soutien que nous pouvons continuer de travailler de façon efficace pour les droits de nos amis animaux !

L’ATRA a été fondée à Lugano, Suisse, en 1978 par Milly Schär-Manzoli.

En presque 40 ans d’activité nous avons pris part à divers combats contre la vivisection et pour les droits des animaux, en sauvant beaucoup d’animaux d’un destin cruel. Nous avons organisé et participé à des manifestations nationales et internationales, avons monté des centaines de stands d’information, de conférences et débats, avons lancé des pétitions et référendums pour faire cesser beaucoup d’expérimentations en Suisse (CHUV Lausanne, Institut d’Anatomie de Fribourg, Inselspital à Berne etc…) et avons obtenus d’importants succès.

En 1981 Milly Schär-Manzoli a fondé l’OIPA (Organisation Internationale pour la Protection des Animaux - qu’aujourd’hui a son siège à Milan) et en 1987 la Ligue Internationale des Médecins contre la vivisection (aujourd’hui LIMAV- Médecins Internationaux avec siège à Milan). Dès sa création, en 1989, la LIMAV a lancé un référendum en Suisse afin d’abolir la vivisection et durant toutes ces années elle a organisé plusieurs conférences, débats et congrès internationaux. Beaucoup de médecins de la LIMAV ont publié des articles et des livres fondamentaux pour notre cause.

En outre, l’ATRA s’est toujours engagée sur d’autres fronts que celui de la vivisection: contre la fourrure, pour la diffusion de l’alimentation végétarienne, contre les corridas et les fêtes cruelle, la chasse, les zoo, les cirques avec animaux, etc…(voir lien link Activites).

 

Aujourd’hui, après la disparition de Milly Schär-Manzoli en décembre 2001, notre mouvement continue avec la même énergie, sous la houlette de Max Molteni: nous avons de nouvelles forces et de nouvelles stratégies, mais nos objectifs restent les mêmes et nous continuerons à lutter pour l’abolition de la vivisection et pour garantir leur dignité à tous les êtres vivants.

Organisation interne

Les membres du comité sont: Elena Grisafi Favre (vice-présidente); Sveva Belloni; Sabrina Piacente, Simona Mombelli, Silva Martinelli.

Consultant scientifique: Massimo Tettamanti.

Secrétariat/ Rédaction Orizzonti: Natascia Gamba.

 

 

Pour en savoir plus Vous pouvez vous abonner à notre revue trimestrielle “Orizzonti (éditée en trois langues italien, français et allemand) informant ses abonnés clairement et par des articles bien documentés sur la lutte contre la vivisection, sur les divers thèmes concernant les droits des animaux et sur toutes nos actions en Suisse et dans le monde.
L’abonnement annuel ne vous coûtera que CHF 20.—par année pour la Suisse, CHF 30.- (Euro 20.-) reste de l’Europe, CHF 45.- ( Euro 30.-) autres continents.

Dans les facultés médico-scientifiques suisses, les dissections didactiques d'animaux vivants sont courantes, ou alors les animaux sont préalablement tués dans ce but spécifique. Il n'existe aucune loi qui empêche ces pratiques archaïques et cruelles et qui pourraient facilement être remplacées par des méthodologies scientifiques ayant déjà fait leurs preuves et qui existent partout dans le monde et sont bien plus efficaces pour la formation des étudiants.

 

L'ATRA, en collaboration avec l'International Centre for Alternatives in Research and Education, I-CARE, et le CAAT, Center for Alternative to Animal Test de la John Hopkins University de Baltimore, USA, a créé un premier « Base de données Interactive sur les Alternatives à l'utilisation d'animaux dans la Didactique » :

 

www.ethical-learning.org/welcome.html

 

La Base de données contient 1238 alternatives aux traditionnelles expériences didactiques utilisant des animaux qui implique l'utilisation de 264 espèces différentes et est en permanence mise à jour et consultable avec des instructions en six langues : anglais, italien, allemand, français, espagnol et portugais.

 

Cette Base de données est utilisable de deux manières :

1. Si l'on connaît déjà le nom d'une méthode et qu'on cherche les principales caractéristiques de la méthode ou les références du producteur pour avoir des détails, ou pour un éventuel achat, il est possible de lancer le moteur de recherche de la base de données interne.

2. Si, au contraire, on veut connaître les alternatives possibles pour une expérience donnée, il est possible d'utiliser la Base de données interactive en compilant les champs sur les données personnelles et sur les caractéristiques de l'expérience (argument, type d'alternative et espèce animale).

 

La Base de données fournira ainsi toutes les alternatives correspondant aux paramètres sélectionnés : outre les caractéristiques techniques, le site internet et/ou les contacts du producteur pour d'éventuels approfondissements ou pour un achat seront signalés. Toujours au moyen du cette Base de données, il est possible d'atteindre via internet toutes les meilleures bases de données existantes, même celles destinées à remplacer l'utilisation d'animaux, les revues scientifiques qui soutiennent les alternatives à la vivisection et diverses autres informations scientifiques sur ce sujet.

La fourrure

Aujourd’hui, qui n’a jamais vu ou entendu parler de comment sont produites les fourrures? Ces dernières années, de nombreuses campagnes d’information ont été lancées, et pourtant, si on passe dans les centres ville combien de femmes portent une fourrure et se fichent d’être complices de la mort de millions d’animaux.

 

Rappelons comment les fourrures sont obtenues :

 

 Les élevages

C’est le premier argument de défense de la part des “fans” de la fourrure quand on les attaque. Mais que signifie « d’élevage » ? Cela veut dire que les animaux sont enfermés dans de minuscules cages métalliques qui leur causent de douloureuses blessures aux pattes ; les animaux sont exposés aux basses températures hivernales pour leur faire épaissir la fourrure. Du point de vue de leur santé mentale (souvent sous estimée), il est, si cela est possible, encore pire : il s’agit d’animaux sauvages, qui dans la nature, vivent en solitaires dans de grands espaces. Dans les élevages, ils sont obligés de vivre ensemble avec des conséquences qui engendrent un grand mal-être et qui amènent les animaux à s’ auto mutiler et à la mort.

 Les pièges

Capturés dans la nature, les animaux sauvages victimes des pièges meurent souvent après une lente agonie, puisque seulement 15% des animaux meurt tout de suite, même dans les pièges dits “humaines”, mais qui d'humain n’ont absolument rien. Sans compter que des animaux qui ne peuvent pas être utilisés pour la production de fourrures sont souvent pris dans les pièges et ils sont donc jetés comme des déchets.

 

 CONCLUSIONS

Quelle que soit sa provenance, la fourrure est inacceptable d’un point de vue éthique. On est en train de parler de tuer d'autres êtres vivants pour un luxe et non pas par nécessité ! Et il ne faut pas se cacher non plus derrière l’exemple des populations qui vivent dans des conditions climatiques extrêmes et en étroit contact avec la nature : nous sommes ici en train de parler de notre réalité, où le fait de porter une fourrure est seulement un choix personnel dicté par plusieurs raisons sauf celle de la survie. Certes, chez nous, manger de la viande n’est pas nécessaire non plus, et c’est pour cela que nous soutenons le choix vég. Mais il est clair que renoncer à la fourrure est sans doute plus facile que de changer des habitudes alimentaires bien enracinées. Cela ne signifie pas être hypocrite: il faut commencer par changer les choses les plus simples, il faut faire un premier pas important. Qui sait, peut-être qu’après quelqu’un pourra encore élargir ses choix et devenir vég, nous l’espérons en tous cas! De toutes façons chacun fait ses comptes avec sa conscience et avec ses limites, mais renoncer à commencer quelque part en se disant que “de toutes manières les animaux ont toujours été tués par l’homme… » est trop simple ! Avec cet argument nous pourrions légitimer chaque forme d’exploitation et pas seulement celle des animaux.

 

SOLUTIONS

C’est nous qui faisons la mode, avec la force de nos idées et notre pouvoir d’achat en tant que consommateurs. Opposons-nous aux produits qui causent de la souffrance à d'autres êtres vivants, ne les achetons pas ! C’est tellement facile de ne pas acheter de fourrure quand nous avons à disposition d’autres matières pour nous réchauffer…tout simplement…FAISONS-LE !

Pour plusieurs informations:

www.mode-sans-fourrure.com

www.stopp-pelz.ch

Pour informations sur le cuir, la laine, la soie et le duvet: veganrevolution.free.fr